Proximus veut devenir un acteur central dans l’espace numérique de haute technologie. Le nouveau Protocol Ada aura pour mission de combiner l’intelligence artificielle et la cyber résilience.

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Ada, concrètement

ADA fait référence à Ada Lovelace, la toute première femme codeuse au monde. Pas de plus belle allusion au système binaire qui a révolutionné notre quotidien.

Grâce à l’intelligence artificielle, ce protocole vise à réduire la consommation d’énergie et prévenir les erreurs dans les systèmes techniques. Il va permettre aussi d’améliorer la détection des fraudes, ou encore d’optimiser la mobilité. D’autre part, la cybersécurité va être renforcée afin d’installer une confiance entière au niveau de l’écosystème digital.

La ministre Patra De Sutter, estime que l’intelligence artificielle joue un rôle essentiel dans la création d’un avenir plus durable. Et ce, notamment en intervenant sur la consommation énergétique. Elle va aussi intervenir dans l’amélioration des soins de santé ou de la mobilité. Quant à la cybersécurité, elle va épauler le pays dans l’évolution de ses techniques de détection, et de blocage de fraudes.

Quel horizon pour Ada ?

Proximus doit d’abord se concentrer sur le développement de nouvelles technologies comme la 5G et la fibre optique. En développement continu depuis plusieurs années, ses technologies feront partie intégrante de tous les foyers belges d’ici 2024. Ensuite, Proximus projette de faire appel à des milieux d’expertise. Universités, instituts de recherche ou d’écoles de codage, cela pour recruter les meilleurs experts en la matière et mener ce projet à bien.

Ce projet semble donc marquer un nouveau point d’attention dans la vision à long terme de Proximus et de ses partenaires.